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La Question des Vaccins
18 janvier 2021

La vaccination comme amplificateur de l'épidémie ?

 

Il m'a été posé une question : la vaccination pratiquée en période d'épidémie

pourrait-elle favoriser l'épidémie ?

Cela est avéré pour le BCG qui est à mycobactérie vivante dérivée d'un bacille de Koch bovin virulent. Même si ce n'est pas reconnu officiellement, c'est aussi vrai pour la variole, le vaccin étant à virus vivant répliquant (la pustule). J'ai longuement étudié cette question sur ce blog et sur le site de l'Aimsib [1] et [2]. Pour la grippe, le virus étant « tué », c’est moins sûr même si  2 agressions simultanées, grippe + vaccin restent problématiques. Pour la rougeole, le vaccin étant à virus vivant, on nous affirme que la vaccination est  protectrice dans les 72 heures qui suivent le début de la maladie Comme il y a 26  sérotypes, que le vaccin  est d’un type A et que les virus qui circulent aujourd’hui sont du type D ou B, on peut avoir des doutes.

 

Pour le virus du Sras Cov 2 je me pose 2 questions.

  • Y’a-t-il des raisons biologiques à ce phénomène ?

Pour ce qui est de son action sensée être protectrice, il  y a l’arrivé  de l’ARNm qui provoque la formation de protéine de l’enveloppe du virus (mais sans le virus), ce qui provoque la formation d’anticorps contre cette protéine. Si le virus sauvage arrive aux alentours de la vaccination ce pourrait être le ménage à trois : d’une part rencontre du virus avec une partie de son ARN ou d’un mutant ; d’autre part rencontre avec sa protéine de surface ou la protéine d’un mutant ; enfin la rencontre des 3 en même temps alors que les anticorps ne sont pas encore là. Que ce passe-t-il ? Je n’en sais rien mais ne suis pas certain que le problème ait été étudié avant le lancement du vaccin.

  • Y’a-t-il des raisons sociales ?

Le vacciné veut profiter de son nouvel état, voire statut, pour se donner de l’air et respirer un peu : « je vais pouvoir aller au cinéma, embrasser mes petits enfants, prendre l’avion avec d’autres vaccinés …" Bref ne plus s’embarrasser des distanciations et autres mesures contraignantes.  Or, le vaccin ne peut pas endiguer les virus qui sont dans les fosses nasales, ce qui lui permet de se propager par le souffle, les mains, les surfaces … même si l’hôte a été vacciné et alors qu’il prend moins de précautions où même bénéficiera d’un statut officiel pour le faire.

 

De plus, le mutant qui cause anglais a un tropisme pour le nez, d’où sa plus grande contagiosité alors qu'il est appelé à supplanter le premier. Même si le vaccin est actif contre lui, il ne pourra l’être que s’il le rencontre, lui ou ce qu’il génère.

 

Avec le couvre feu à 18h qui concentre les déplacements du soir et accentue les promiscuités dans les transports en commun, les vaccinés pourraient être d’actifs vecteurs de propagation du virus et ce même si le vaccin est efficace contre lui.

CONFIRMATIONS PAR LES FAITS ?

Une analyse par le docteur Gérard Delépine :

https://ripostelaique.com/et-si-le-vaccin-pfizer-augmentait-la-mortalite-du-covid.html

[1] http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2013/10/16/28149160.html

[2] https://www.aimsib.org/2020/05/10/eradication-de-la-variole-la-desastreuse-vaccination-des-sujets-contacts

 

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