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La Question des Vaccins
16 décembre 2020

Message du professeur Perronne sur les vaccins covid

 

Rappelons que Christian Perronne fut pendant 5 ans, de 2002 à 2007, tout à la fois président du CSHPF (Conseil supérieur d'hygiène publique de France) et président du CTV.  Qu'en 2007 il devint président de la Commission sur les maladies transmissibles au HCSP (Haut conseil de santé publique qui remplaça le CSHPF) et ce pendant 10 ans jusqu'en 2017. Que dans le même temps il fut 5 ans vice-président de la Commission sécurité des vaccins à l'OMS. De plus il fut et demeure directeur du service des maladies infectieuses à l'hôpital de Garches où il constata l'efficacité du traitement à l'hydroxychloroquine et l'azithromicine contre la covid 19.

Son expérience en matière de vaccinations est donc très riche et multiple. Aussi, son message sur les vaccins contre la covid 19 n'en prend que plus de poids.

VOICI :

Avec en prime une vidéo de 11 mn où Christian Perronne revient sur cette grave affaire qui nous interpéle tous :

https://www.youtube.com/watch?v=_yhdN2v7o94&feature=emb_logo

 

 Chers amis,

 

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

 

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

 

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie. Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de santé de l'Etat.

 

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première.

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur

Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

 

Même le Président de la République, lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000

morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.

 

Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l'épidémie de SARS-COV-2.

 

L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

 

Or l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

 

Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

 

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

 

La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.

 

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

 

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

 

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

 

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

 

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour.

 

Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

 

Le pire est que les premiers « vaccins » qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

 

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules.

 

On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

 

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l'ADN de nos chromosomes.

 

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs

(contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN.

 

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes.

 

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

 

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus

généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

 

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu'il espérait un effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie.

 

C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin. Un comble.

 

Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

 

Aujourd'hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

 

Christian PERRONNE

 

Le Professeur Jean-François Saluzzo décrypte la stratégie vaccinale du gouvernement.

Émission Sud-Radio du jeudi 17 décembre 2020. 

https://www.sudradio.fr/emission/cest-a-la-une-307/

 

Biographie du Pr Jean-François Saluzzo.

https://fr.linkedin.com/in/jean-francois-saluzzo-09851b45

Directeur de la production des vaccins viraux (12 vaccins chez Sanofi Pasteur pendant 9 ans)

Chef de projet Sida, SARS Cov et dengue

Consultant OMS depuis novembre 2010.

 

Extraits de l’entretien :

 

« La vaccination n’a pas une finalité d’éradiquer le virus, la vaccination est un complément aux mesures que l’on prend maintenant. »

« Le vaccin a pour but de diminuer, si possible de  freiner la mortalité des personnes les plus fragiles. »

« Ce virus est très difficile à combattre. Il faudra certainement des mois et des mois, peut-être même des années pour qu’on contienne ce virus. »

«  Pour le vaccin contre la Covid pour la phase 3, on a enrôlé 40.000 volontaires. C’est un nombre très important. La première phase 3 avait été faite pour  le vaccin contre l’hépatite B, il n’y avait que mille volontaires. »

« Cette année, il n’y aura que des vaccins nouveaux et révolutionnaires. Les gens qui disent on va attendre un vaccin classique, ils se trompent. Il n’y aura pas de vaccin classique cette année. »

« À court terme, cette année, il n’y aura que des vaccins nouveaux et révolutionnaires à base d’ARN, des vaccins nouveaux qui n’ont jamais été utilisés au niveau médical. »

« Quand vous êtes vaccinés contre la poliomyélite, vous pouvez être infectés, multiplier le virus intensément dans le tube digestif. Et ça a été un problème important pour lutter contre l’éradication de la polio. Donc si le virus est transmis après vaccination, c’est sûr que ce sera un problème très difficile pour lutter contre ce virus. » 

 

MONSIEUR VACCIN

Et aussi cette intervention de notre Monsieur Vaccin du gouvernement  Alain Fisher :

 « Quand tu écoutes monsieur vaccin tu te fais pas vacciner ! »

 https://twitter.com/boutaour/status/1334591244836737027

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Commentaires
B
Merci pour vos commentaires pertinents mais je ne sais pas vraiment quoi y répondre. Par contre, une bonne réponse à cette épidémie serait le traitement précoce des malades par les généralistes car regarder des courbes de malades, de décès,, de vaccinés supposés immunisés, de positifs PCR et autres ne nous avancera à rien.<br /> <br /> <br /> <br /> Il fut répondu un peu vite qu'il n'y avait pas de traitement; Tout semble indiquer qu'on ne voulait pas qu'il y ait un traitement (ou plusieurs comme avec l'Imervectine ) et aussi le soutien de l'organisme avec les vitamines D et C afin qu'il supporte mieux l'infection.<br /> <br /> <br /> <br /> Ce matin sur Europe 1 j'entendais un économiste dire qu'il fallait payer les vaccins beaucoup plus chers afin d'être livré plus tôt. La vie humaine étant évaluée à 3 millions d'euros et comme il faut tant de vaccins pour éviter un mort on obtient par division le prix qu'il faudrait payer pour une dose. Fort cher vous imaginez !!!<br /> <br /> <br /> <br /> Mais que fait donc l'industrie pharmaceutique avec tout cet argent ? Mais il faut bien financer la recherche n'est-ce pas ? Cet argent pourrait aussi servir à contrôler les partis politiques toujours dans le besoin, les médias, les académies pour nous conduire à la situation que nous connaissons aujourd'hui : "une seule solution, la vaccination !"<br /> <br /> <br /> <br /> Le plus important n'est pas, comme souvent, ce dont on nous parle le plus mais ce qui est occulté systématiquement.
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R
Je crois qu'il y a un aspect que vous n'avez pas vu dans ma question précédente, sans doute parceque celle-ci n'était pas bien formulée. Aussi j'en suis réduit à reproduire quelques phrases en anglais qui posent un peu mieux le problème ( mais à vrai dire là encore pas tout à fait comme Ginzburg l'abordait) :<br /> <br /> "That was, of course, before the WHO adopted the bold, contradictory strategy of attempting to rewrite the historical definition of herd immunity wholesale. As recently as June 2020, the WHO’s definition of herd immunity had properly included “immunity developed through previous infection”—but on October 15, 2020, the WHO effectively erased the eons-long history of naturally-acquired immunity from its website..." <br /> <br /> http://ccpgloballockdownfraud.medium.com/the-chinese-communist-partys-global-lockdown-fraud-88e1a7286c2b
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B
Vous soullevez des questions très importantes. Les vaccins n'empêchent pas tous la transmission du pathogène. Plus précisément, une personne vaccinée puis contaminée pourrait ne pas tomber malade mais transmettre quand même le virus. C'est le cas par ex pour le vaccin polio injectable alors que l'oral transmet le virus vaccinal par le relai des selles, au moins à la première ingestion. Cela pose de très gros problème au programme d'éradication de la polio.<br /> <br /> Pour le vaccin contre la fièvre aphteuse chez les animaux, les animaux vaccinés peuvent éviter la maladie tout en transmettant le viurs. Aussi, la vaccination a été interdite.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour les vaccins covid la question a été soulevé. Si on peut trouver le virus au fond des fosses nasales, cela implique pratiquement qu'un vaccin injecté ne pourra aller chercher un virus dans un tel endroit, Il ne pourra donc pas stopper la transmission.
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R
Bonjour,<br /> <br /> <br /> <br /> J'interviens ici 10 jours après la publication du billet. Merci de rappeler l'expérience du Pr. Perronne. ( a propos : aviez-vous eu l'occasion de parler avec lui de ces questions dans les années précédentes ?).<br /> <br /> <br /> <br /> Je viens donc pour poser une question, mais d'abord pour signaler un article du Monde de Stéphane Foucart : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/a_l_origine_de_la_pande_mie_le_monde_22_de_c_2020-2.pdf<br /> <br /> <br /> <br /> Ma question : elle porte sur une très ancienne publication qui introduisit le terme de "herd immunity". Carlo Ginzburg dixit : "un article de deux membres du département de bactériologie et de médecine de l’université de Manchester, W. W. C. Topley et G. S. Wilson, paru il y a presque un siècle, et qu’on peut lire en ligne : « The Spread of Bacterial Infection. The Problem of Herd-Immunity » (Journal of Hygiene, XXI, 1923, p. 243-249). Une série d’expériences menées sur des souris avait conduit les deux chercheurs à formuler l’hypothèse selon laquelle l’immunité d’une communauté (herd-immunity) et l’immunité d’un individu constituaient deux problèmes distincts bien que liés..........................................................................................................................les chercheurs étaient arrivés à la conclusion qu’en cas d’épidémie un individu immunisé par la vaccination n’est pas complètement protégé, mais qu’il l’est en proportion plus grande si les autres membres de la communauté ont été vaccinés."<br /> <br /> https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/07/12/democratie-gregaire-ginzburg/<br /> <br /> <br /> <br /> Je connaissais bien sûr l'expression "immunité grégaire" /"herd immunity" mais dois reconnaître que c'est la première fois que j'en découvre l'origine. ce qui étonne un peu : n'est-ce pas qu'on n'en avait pas eu autant besoin avant ? <br /> <br /> <br /> <br /> Le point clé est vraiment celui-ci : "qu’il l’est en proportion plus grande si les autres membres de la communauté ont été vaccinés"<br /> <br /> <br /> <br /> Il ne me semble pas que jusqu'alors cela ait été autant mis en avant !??? <br /> <br /> <br /> <br /> Serait-ce parceque les "vaccins" proposés ont une efficacité beaucoup plus discutable qu'auparavant ?
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